La ronde relaie des anecdotes (résultat du concours inside)

Dans ce billet, je vous proposais un petit concours. Les règles étaient assez simples : il fallait raconter une anecdote de son enfance. L’enjeu : un coffret surprise d’une valeur de +/- 20 €.

Voici un petit résumé de vos anecdotes (et mes commentaires, avec des anecdotes sur moi inside, parce que j’adore blablater et que je suis chez moi).

La Belette nous raconte :

« Quand j’étais un enfant donc, j’avais l’habitude à chacun de mes anniversaires de prendre les cadeaux et d’aller me cacher dans une autre pièce pour les ouvrir. J’avais peur qu’ils ne me plaisent pas, et je ne voulais pas montrer ma tête dégoûtée à ceux qui m’avaient fait le cadeau! Je revenais ensuite en disant poliment merci… ! »

La ronde commente :

Moi, je trouve ça vachement sympa comme réaction de petite fille. Non, parce que bon, moi, ça se voit sur ma tronche que j’aime pas.

Une année, pour mon anniversaire, ma mère a décidé de me faire un super cadeau très cher. Elle m’avait fait un teasing de dingue : « tu vas voir, c’est un très beau cadeau, cette année. Tu vas être contente ». Fébrile, je déballe le paquet, le jour J et découvre… un peignoir. Je n’ai pas pu m’empêcher de demander « c’est tout ? ». Ma mère était super fâchée (en plus d’être déçue) parce qu’il semblerait que ce peignoir ait coûté un bras (mais quelle idée de dépenser un bras pour un peignoir à une gosse de 10 ans qui grandira quand même et qui espère un cadeau de ouf ?!).

J’aurais du prendre des leçons chez la Belette… 🙂

Kazuchan nous raconte :

« j’ai toujours vécu avec ma grand-mère qui m’a élevée comme si j’étais son cinquième enfant! Elle a joué le rôle de mère, de père, de grand-père et de grand-mère. En somme, elle est un peu tout pour moi et je crois que je ne lui serai jamais assez reconnaissante de tout ce qu’elle a fait depuis toujours! Et quand je repense à mon enfance, je me demande encore quelle anecdote vous raconter? Je me rappelle que quand j’avais peut-être 4 ans, un collègue de travail à ma mère avait de petits yeux. Si bien qu’elle et ma grand-mère le surnommait Paul Newman. Et moi je croyais que c’était son vrai nom, alors le jour où il est venu sonner à la porte et que je suis allée ouvrir, j’ai hurlé dans la maison « Mamie, Mamie, c’est Paul Newmaaaaan! ». Je n’ai jamais su comment elles lui ont expliqué la chose. »

(Va voir son billet ici, pour lire toutes les anecdotes dans leur contexte, parce que je n’en ai mise qu’une ici… 😉 ).

La ronde commente :

Ahah ! En même temps, comment savoir ?

Une anecdote un peu identique m’est arrivée, il y a quelques années. Mais, je n’étais plus une enfant… Mais, je vous la raconte quand même. Un ami de mon mari-chéri a un surnom. Sauf que je ne savais pas que c’était son surnom. Je pensais sincèrement que ‘Bazar’ (surnom d’emprunt) c’était son vrai nom. Un jour, je suis allée à son travail pour lui remettre quelque chose (il bosse dans une grande librairie pas loin de chez moi). J’ai demandé à l’un de ses collègues d’appeler « Bazar ». « Bazar » inconnu au bataillon, évidemment. ‘Madame, il n’y a pas de Bazar qui travaille ici’. Après description, on a découvert, tous les deux, que Bazar, c’était Pierre-Jean (nom d’emprunt)… Moi, je me suis taillée vite fait, et lui ai laissé le soin de s’expliquer (oui, je sais, je suis lâche parfois).

Memy nous raconte :

« Quand j’étais bébé, le chien de la famille était une croisée épagneul-cocker rousse et blanche qui s’appelait Cléo. M’man me laissait souvent avec Cléo, sur un tapis au milieu de la pelouse, et mon parc de jeu préféré était son panier en osier (à la chienne, hein, pas à m’man).

Un jour m’man n’a pas trop compris pourquoi ni comment, elle m’a retrouvée debout quelques mètres plus loin, avant de me voir retomber sur mon petit postérieur (déjà bien rembourré – si tu te demandes, oui, c’est moi sur la photo, là. M’man tu ne la vois pas, je suis assise sur son dos. La jolie dame derrière je crois que c’est une cousine à elle ou un truc comme ça. Bref, reprenons…). Alors elle s’est demandé ce qu’il avait bien pu se passer. Et puis elle a vu la chienne passer à côté de moi, moi m’accrocher à sa queue et me redresser… et marcher. »

(Va voir son billet ici pour lire l’anecdote dans son contexte avec photo inside 😉 ).

La ronde commente :

C’est un très bon levier, ça, la queue du chien. On devrait l’inscrire dans les manuels d’apprentissage de la marche, non ? 😉

Petite, je ne voulais pas que l’on sache que je marchais, moi. Ma mère n’en finissait pas de se plaindre et de s’inquiéter que je ne marchais toujours pas. Ni ne montais sur les meubles.

Un jour, elle s’est servi un petit verre d’une boisson interdite aux moins de 16 ans. Elle a laissé son verre sur le table, en plein milieu, le temps d’aller au petit coin. Aucun risque :  je ne grimpais nulle part, j’étais à l’autre bout de la pièce. Le temps que je m’approche, elle serait déjà revenue…. Ou pas. A son retour, elle a découvert une petite fille, assise sur la table, un verre, vide, en main, en train de rire. Il paraît que j’ai ri longtemps…

Manon W. nous raconte :

« Je me souviens d’un jour où il neigeait et je suis sortie avec mon « chat-chien » (un chat qui te suis où que tu ailles, la queue en l’air comme un toutou) et j’aperçois au loin un pauvre petit oiseau coincé dans un grillage, et là (je suis toute fière ^^) je le prends dans mes toutes petites mains très délicates et le libère ❤
Et pour une seconde petite anecdote, c’est à propos d’une chanson^^ Je ne sais pas si tu la connais mais normalement ça fait « J’ai un petit problème dans mes plantations, pourquoi ça pousse pas ? » et moi je croyais que c’était « J’ai un petit problème dans mon pantalon, pourquoi ça pousse pas ? » Oui oui je t’assure ^^ »

La ronde commente :

C’est super courageux de prendre un oiseau en main, dis ! Moi, petite, j’aurais jamais osé.

Pour la seconde anecdote, j’ai pris un malin plaisir à la publier, histoire de mettre la chanson en tête de mes lecteurs (oui, je sais, je suis sadique).

(Non, ne partez pas ! Promis, je le referai plus…)

Anna E. nous raconte :

« quand j’avais … disons, 3, 4 ans, mes parents essayaient d’avoir un autre enfant, mais ça ne marchait pas vraiment. Donc une fois, alors qu’ils golfaient avec le BigBoss de mon père, je me suis débrouillée je ne sais plus comment pour récupérer quelque chose ressemblant à des graines, et je suis allée vers mes parents, comme une fleur (haha), pour donner les graines à ma maman en lui disant “tiens, c’est pour avoir un bébé, parce que les graines de Papa ne marchent pas !”
Ca devait être un signe annonciateur de mes difficultés futures en biologie – j’ai eu 2 au bac dans cette matière :D« .

La ronde commente :

Ahahah ! L’innocence à l’état pur ! Ca me rappelle une émission, vue il y a très longtemps, où l’on demandait à des enfants assez jeunes (4 – 5 ans, je dirais) comment la petite graine du papa faisait pour entrer dans la maman. Des réponses savoureuses, allant du « maman elle boit la graine avec un verre d’eau » à « papa met la graine dans le nombril »… 😀

Estelle 2 Ailes nous raconte :

« Quand j’étais petite, en vacances, j’avais prêché ma maman pour qu’elle me fasse faire un tatouage au hénné. Elle a donc fini par céder et nous sommes allées dans un salon. Face aux catalogues, mes yeux ont tout de suite été attirés par un joli papillon. Ni une, ni deux, le voilà donc sur mon épaule.
Et une dizaine d’années après, j’ai eu envie de me faire un véritable tatouage. Je ne me souvenais même pas de l’épisode précédent et pourtant, mon coeur m’a a nouveau poussée vers un papillon…
Quand je suis retombée sur ma photo d’enfance, un papillon sur l’épaule (la même épaule, quasiment au même endroit à quelques milimètres près), j’ai souris. Je ne crois pas aux hasard, je crois que mon amour pour les papillons a commencé bien plus tôt que je ne le soupsconnait ! »

La ronde commente :

Les papillons, toute une histoire ! J’en ai plein chez moi ! Je comprends l’envie de s’en faire tatouer un !

Petite, je sciais ma mère pour avoir un tatouage sur le front… Un peu à l’indienne. Je trouvais ça si joli. Bizarrement, elle a toujours refusé « tu feras ça à tes 18 ans. Pas avant ». Et bizarrement, à 18 ans, je ne m’en suis pas rappelée.

Maintenant, j’en ai 28, c’est ballot !

La trentaine quelle aubaine nous raconte :

« Quand j’étais petite, je passais une partie de mes vacances chez ma grand mère. Elle était à la retraite mais avait tenu un bar toute sa vie. Et puis, c’est l’ancienne école tu sais : une goutte d’alcool ne tue personne, au contraire “ça désinfecte” alors que l’eau “ça fait rouiller” !! Alors j’adorais aller chez elles parce que, pour ma fête qui tombait souvent pendant mon séjour, elle faisait “péter” l’apéro !! Entre nous, comme ça, et c’était notre secret parce que maman oulala si elle l’avait su hein ^^
Alors bien sûr, quand je revois les verres sur les photos, je peux t’assurer que ce n’était qu’une gorgée de porto. Mais qu’est-ce qu’il était bon ce goût d’interdit !! Et les petits gateaux apéro étaient toujours meilleurs à cette occasion !!
Mamie et moi nous évoquons encore souvent cette période, entre nous : un vrai délice qui me restera toujours ! Comme sa tarte aux pruneaux… ;DD »

La ronde commente :

Ah, les mamies, toute une histoire aussi ! Ce qui est chouette, c’est que Mamy peut se permettre de faire des choses que maman et papa ne peuvent (veulent) pas !

La mienne m’a emmenée chez le coiffeur, alors que ma mère refusait. Je voulais, pourtant, des cheveux courts. J’en rêvais, j’en pleurais de frustration. Mais ma mère était aussi têtue que moi. Rien à faire, elle trouvait qu’une petite fille devait avoir des cheveux longs et une frange. Je voulais des cheveux lisse sans franges. Un sujet de dispute à l’état brut, quoi !

Ma Mamy a tranché. Elle a été chez son coiffeur. Pour elle. Et m’a emmené avec elle. Et m’a offert une coupe ! J’étais folle de joie !

(L’histoire ne dit pas si ma mère lui a pardonné, mais on n’en a plus reparlé depuis longtemps).

(Après coup, en regardant les photos, j’ai quand même pas gagné grand-chose au change, parce que le coiffeur de ma Mamy était un coiffeur de petite vieille. Qui m’a donc fait une coupe de petite vieille. Tu vois la coupe d’Arabesque ? Ben, tu y es. La mise en plis, et tout).

(C’est peut-être pour ça que ma mère ne nous en a pas voulu tant que ça : elle a eu sa vengeance… ^^).

Marie nous raconte :

« quand j’étais petite, ma mamie me préparait pour le petit-dej, du pain coupés en petits dès avec du beurre et de la confiture…et je prenais mon petit-dej devant TOM SAWYER…à la belle époque…ma mamie chérie toujours au petit soin avec moi… »

La ronde commente :

Le pain coupé en petits dés, c’est excellent ! 🙂

Je me souviens que quand j’étais petite et que j’allais dormir chez ma Mamy, j’aimais me lever tôt et lui faire une « surprise » en dressant la table du petit déjeuner ! J’ai appris, bien plus tard, qu’elle détestait déjeuner mais qu’elle ne disait rien parce qu’elle voyait que cela me faisait tellement plaisir ! 🙂

Claudie nous raconte :

« Quand j’étais petite, je me calais au fond de mon lit, pleins de coussins derriere mon dos, j’alignais mes peluches sur le coté (jamais l’une devant les autres sauf si c’était une grande peluche dans ce cas une petite venait se caler entre ses pattes) et je leurs racontais des histoires… J’aime beaucoup me rapeller ces moments là, car c’est un moment d’innocence ou l’on pense que le monde est tout blanc et que la vie aussi…
Moi c’est une anecdote, car… toutes les peluches étaient toutes ouïes, contrairement à maintenant ^^… »

La ronde commente :

Ahahah ! J’ai beaucoup ri en lisant cette anecdote parce que je faisais presque pareil : j’installais mes poupées et peluches autour de mon bureau et je leur faisais la classe ! J’allais même jusqu’à recopier les pages que mon institutrice nous donnait, comme devoir, pour les leur donner, à mon tour ! 😀

Nature 74 nous raconte :

« bonjour, alors moi quand j’étais plus jeune je me souviendrais toujours quand je suis allé voir pour la première fois au cinema le film Harry Potter à l’école des sorciers, j’en avais les larmes aux yeux tellement ce monde était merveilleux.
Avoir des pouvoirs magique est un reve pour certain(e)s »

La ronde commente :

Oh, c’est trop mignon ! Moi, j’étais déjà fort grande quand HP est sorti. Mais, petite, je croyais fermement que j’avais les mêmes pouvoirs que les « Biomans » et que si je chantais la chanson dans ma tête, je pouvais courir plus vite (bien pratique pour jours à « touche-touche » aussi appelé « au chat »).

Unicks nous raconte :

« en été, nous partions 3 semaines en bourgogne, dans la maison de campagne de ma tante et de son compagnon. j’adorais ces vacances, j’étais tout le temps fourrée dehors, à pieds, à vélo, dans le jardin avec les moutons et les oies, à jouer avec les sauterelles, etc…

et le soir, on se mettait autour de la table, maman d’unicks, papa d’unicks, soeur grande et unicks et on jouait au carte. au rami plus précisément .

j’ai de petite main et j’étais incapable en ce tempslà de faire un bel éventail avec mes cartes, alors je les tenais comme je pouvais, elles tombaient de temps en temps et je n’arrivais pas bien à les cacher. ça déjà c’était rigolo.

et puis je me prenais au jeu de la compétition.

un soir donc, nous étions sur la terrasse, la partie menait bon train et je ne sais plus en réponse à quelle réflexion de papa d’unicks j’ai répondu du haut de ma dizaine d’année « et mon cul tu l’as vu? ». réalisant ce que je venais de dire, je suis évidemment devenue rouge pivoine et on a tous éclaté de rire.

c’était le bon temps… »

(Va voir son billet ici pour lire l’anecdote dans son contexte… ;-)).

La ronde commente :

Ahah ! Ces expressions que l’on répète, enfant, sans trop savoir pourquoi, ni parfois même se rendre compte de leur impact !

Petite, un jour, ma Mamy m’a regardé avec des yeux éberlués. Je lui ai sorti « t’as fini de me regarder avec des yeux de Merlan frits ». Je n’ai jamais compris ce qui s’est passé, mais elle a été très fâchée par cette expression et m’a presque renvoyée chez ma mère (alors que j’étais censée passer une semaine chez elle). Depuis, je ne l’ai plus jamais employée !

Super grosse nous raconte :

« Quand j’etais petite j’allais à la crèche avec une petite japonaire qui repondait “aligato” lors que sa mère lui donnait sont goûter (un gâteau). Donc je m’etais mise à dire “alli-boudoire, allii-purée, alli-jambon” à ma mère lorsqu’elle me donnait quelque chose à manger ! »

La ronde commente :

C’est tout-à-fait logique comme raisonnement ! D’ailleurs, je m’en vais bientôt manger ma alli-tartine !

Petite, j’écoutais beaucoup les grands parler. Et parfois (souvent), il y avait des mots que je ne comprenais pas. Alors, j’essayais de les placer dans une phrase, mine de rien, pour voir si le sens que je donnais au mot était le bon. Je n’ai pas de souvenir précis d’une phrase en particulier, mais, vu la tête de certains adultes, parfois, je devais être vachement à côté de la plaque…

Rêves d’écriture nous raconte :

« Quand j’étais petite fille, je ne sais plus quel âge j’avais exactement, moins de huit ans en tout cas, j’avais une vision un peu particulière des sciences. Une vision un peu particulière, très personnelle et sans doute un peu poétique, aussi. Je m’étais notamment longuement interrogée sur l’origine du vent. Pour moi, c’était clair et limpide : le vent ne provenait certainement pas de gros nuages aux joues gonflées qui crachaient tout l’air de leurs poumons, comme on cherchait à me le faire croire dans mes livres d’enfant. Je n’allais pas me faire avoir par les illustrations colorées de mes albums, nan mais j’avais six ans quand même, fallait pas me prendre pour une idiote ! Non, le vent, c’était clair et limpide, le vent provenait des arbres, les arbres qui se balançaient doucement et dont les mouvements réguliers étaient à l’origine des brises commes des tempêtes (ça dépendait de leur humeur) (et de leur forme physique, aussi) (faudrait pas diminuer l’effort nécessaire à se balancer sans arrêt, quand même !). »

(Va voir son billet ici pour lire l’anecdote dans son contexte ainsi que la seconde, très très drôle aussi ! ;-)).

La ronde commente :

J’adore la faculté des enfants de donner des explications rationnelles à des évènements qui les entourent, fussent-ils à l’exact opposé de la réalité.

Dans un autre registre, je croyais que les séries télé étaient réelles. Pas que je pensais que les gens étaient vraiment dans la télé (eh, je suis pas débile ! Je sais que les gens sont trop grands et qu’ils rentrent pas dans la boîte de la télé, nanmého !). Mais, je croyais qu’il y avait une caméra placée quelque part et que ce que l’on voyait, c’était la vraie vie des gens. Et je me demandais comment ils faisaient pour choisir ce qu’ils diffusaient ? Est-ce qu’un jour, moi aussi, je passerais à la télé ?

Marie sourire nous raconte :

« quand j’étais petite, nous sommes allés en Guadeloupe pour y vivre deux ans environ, mon père étant militaire. quand il ne travaillait pas, on allait à la plage, et un jour, mon père est parti pêcher avec son tuba, pas très loin.

il a ramené des tas d’étoiles de mer et il m’a chargé, moi, gamine de quatre ans à peine, de les surveiller ! (ma mère étant occupée avec le bébé et ma petite soeur)

je me plante devant le seau, rien ne bouge

c’est fatiguant de regarder des étoiles de mer qui ne bougent pas, surtout quand on a envie de jouer avec les vagues et le sable…
alors j’ai joué !

mais ces chipies d’étoiles de mer, elles n’attendaient que ça ! et pfffit toutes à l’eau ! j’ai couru pour les ramasser, je me suis mise entre elles et la mer, bras et jambes écartées…
mais une fois dans l’eau, une étoile de mer, c’est une étoile filante !!

j’ai réussi à en sauver quatre ou cinq… quand même… »

La ronde commente :

Je ne savais pas que les étoiles de mer marchaient ! Oo !

Cela me fait penser à la fois où j’ai marché dans les galets, à la plage, et qu’un poulpe est tombé amoureux de mon pied. Il voulait plus le lâcher !

Je crois que j’ai hurlé pour la terre entière (Si tu as entendu un hurlement aux alentour du 8 août 1992, c’était moi). Jusqu’à ce qu’un monsieur (de ma famille) (très éloignée, la famille) me l’enlève. (Et le mette dans une bouteille et le mange, au soir).

Decay nous raconte :

« Comme j’ai parlé récemment avec mon ex de notre relation d’avant, quand on avait 10 (pour moi) et 12 ans (pour lui), qu’on était n’amoureux et qu’on était encore à l’école primaire, et que du coup, on a partagé plein de souvenirs dont lui ou moi ne nous souvenions plus (mais l’autre oui), je vais t’en partager un.
Cette fois-ci, c’est moi qui lui ai ramené le souvenir.
C’était la période de Noël, une semaine avant, environ. J’étais chez lui, dans la maison de sa grand-mère, et on décorait le salon pour les fêtes de fin d’année. Il a pris un pochoir (ceux avec écrit “Bonne année!” ou “Joyeux Noël!”), l’a plaqué contre la fenêtre, a pris une bombe de fausse neige et a bien tout pschitté comme il fallait. Il a retiré le pochoir, on pouvait clairement lire “Bonne Année!” sur la fenêtre. C’était joli.
Sa grand-mère est arrivée, elle a soupiré, et elle a dit “Denis, tu sais, on fait ça pour les passants, hein?
-Bah oui, pour leur souhaiter la bonne année!
-D’accord. Va voir dehors, alors.”
On est sortis, et c’est là qu’on a pu voir que bien sûr, quand on peut lire le pochoir de l’intérieur, il est à l’envers pour les passants. Epic fail. »

La ronde commente :

Découvrir que, sur une vitre, les mots s’écrivent à l’envers, c’est troublant !

Moi, vers 6 ans, j’ai découvert que quand j’écrivais les mots à la main gauche, ils étaient écrits à l’envers. Je m’appliquais, pourtant. Mais, rien à faire, ils étaient toujours à l’envers. En fait, ma main faisait le mouvement exactement opposé à celui de ma main droite…

Vaallos nous raconte :

« quand ma soeur et moi étions plus ou moins en âge de jouer aux Barbies, on faisait (entre autres hein !) des bastons de Barbies. On prenait chacune la sienne et les tapait l’une sur l’autre jusqu’à ce qu’une des deux (Barbies, toujours !) perde sa tête : elle avait perdu !
Mais y’avait de la triche parce qu’on savait très bien lesquelles avait la tête fragile…. ;) Que de fous-rires avec ce jeu :P »

La ronde commente :

Non, mais quand il y a de la triche, c’est pas du jeu ! 😀

Sauf si c’est moi qui triche, évidemment (Qui a dit que je n’aime pas perdre ?!).

Moi, petite, je voulais tout le temps jouer avec des garçons à des jeux de garçons ! Mon rêve, à 6 ans : avoir une voiture électrique de policier !

Si quelqu’un en a une, pour moi, je la rêve toujours… 😀

 

 

Je ne sais pas pour vous, mais moi, je me suis régalée de ces anecdotes ! Je me rends compte que j’en ai révélé beaucoup sur moi, aussi. Mais, après avoir eu envie de tout effacer, en relisant, j’ai décidé de laisser le billet tel quel.

Il est grand temps, maintenant, je découvrir qui est l’heureux gagnant du concours.

J’ai donné un numéro à chaque participant (entre 1 et 16, donc, dans l’ordre de publication sur ce billet). Puis, j’ai demandé un chiffre entre 1 et 16 sur Twitter.

Ilétait3gars a répondu 14. Du tac au tac, sans savoir de quoi il en retournait.

Et le 14, c’est MarieSourire.

Merci à tous de votre participation. J’ai passé un bon moment, grâce à vous !

Edit  : si un lien est défectueux ou manquant, n’hésitez pas à me le signaler… 🙂

6 commentaires sur “La ronde relaie des anecdotes (résultat du concours inside)

  1. oh la la !! je suis trop contente !! merci, merci, merci !!
    avec ce com, tu as mon adresse mail où tu peux me contacter
    c’est dingue, ça, d’habitude je ne gagne jamais, j’ai fait ton concours pour le plaisir… j’en reviens pas !
    super génial !
    mille bises et délicieuse soirée (pour moi, c’est fait, tu viens d’ensoleiller ma journée !)
    sourire

Laisser un commentaire